L’Homme Sauvage
Merci pour ce beau livre, pour ce beau cri. Je voudrais le voir à toutes les vitrines des libraires et dans toutes les bibliothèques…Enfin un livre à la fois sage et léger, tragique comme notre époque… et qui nous donne à la fois des raisons d’espérer et d’espérer davantage – d’espérer, parce qu’en vous lisant on se sent moins seul. Marguerite Yourcenar Vous entrez dans ce livre comme dans une maison basse, pleine de chuchotement et de pénombre… Vous serez attiré vers des sièges profonds où vous rejoindront quelques lézards, un chat et des mouettes. Vous connaîtrez de grandes jouissances et de grandes angoisses. Michel Bosquet (Le Nouvel Observateur). Je suis descendu chez mon libraire et j’en ai commandé un bon nombre que je vais placer comme le faisaient les missionnaires avec leur bible. Bravo. Henri Cartier-Bresson. C’est pour moi un très grand plaisir d’avoir lu ce livre . Il me fait l’effet d’une source, un chant du monde, le bonheur d’écrire et de vivre. Gilles Lapouge. Merci pour cette grande rasade de vie. Pierre Lieutaghi. L’Homme Sauvage fut publié en bonnes feuilles dans le Monde.par Pierre Viansson-Ponté
Mort à l’homme (livre pour enfants)
Il y a deux ou trois ans, on m’avait demandé mon avis sur quelques livres dits pour enfants. J’avais exprimé l’opinion que certains étaient à “ interdire aux moins de dix ans ”. Je ne dirai pas cela de “ Mort à l’homme ” qui me paraît aussi indiqué aux enfants qu’aux adultes. Françoise Dolto.
Robinson
Ce récit exalte comme font les coups de vent chaud. Il vous livre, en douce, des chargements d’odeurs et de couleurs, des dizaines de bleus, des senteurs de méduses et de chaînes rouillées, une odeur de vieux bébé poisseux qui lutte, respire fort, s’épanouit, renonce, ou peut-être accepte : Robinson, seul, réconcilié. Ce Robinson est une fable métaphysique. Une histoire de vertige. C’est, paradoxe, un formidable livre d’aventures, plein de suspense. Geneviève Brisac (Le Monde).
Dès les premières pages, j’étais acquis, conquis, embarqué avec le débarqué forcé. C’est vraiment un tour de force. Et quel style! Gilles Perrault. Parfaitement étranger à toute espèce de mode ou de caquetage, à travers lequel court une chanson, si je puis me permettre, singulièrement proche de celle qui me trotte dans la tête. Jean Rolin. Robinson-Hervé va moins nous conter une histoire de survie qu’un itinéraire psychologique, sensuel, métaphysique, par instants spirituel… Jacques Marion (La Croix)Un livre achevé, complet, rond et parfait comme une orange. J’ai aspiré une grande goulée d’immensité intime. Serge Lenz. Loin des niaiseries qui envahissent les librairies, l’air pur (mais salé) souffle dans le Robinson d’Alain Hervé. Michel Bessaguet (Sud-Ouest). Ce roman est largement autobiographique. Non pas seulement parce qu’Alain Hervé a vécu cette expérience de l’extrême solitude, mais parce qu’elle est de toute évidence une étape de la quête de quelqu’un… Michel Lebris (Le Nouvel Observateur). Il faut saluer l’écriture limpide, le lyrisme contenu et l’ingénieuse progression dramatique. Noëlle Loriot (L’Express).
Guillaume le Conquérant
Je suis très exigeant en matière de reconstitutions romanesques touchant à la période médiévale…Voilà une des meilleures créations littéraires inspirées par cette époque…Georges Duby L’histoire du Conquérant s’anime comme une chanson de geste. Amin Maalouf. J’aime beaucoup l’absolue liberté, l’alacrité, les surprises de ce texte frais comme le cresson, réjouissant comme une enluminure… d’une originalité totale qui me fait aimer cette Normandie où moi, vieux chinois, n’ai jamais mis les pieds. Nicolas Bouvier. Il est des romans qui offrent à l’Histoire plus de réalités et de vérités que les meilleurs ouvrages de spécialistes… Un style éblouissant… Le Conquérant est sorti de la Tapisserie qu’on se le dise. Daniel Yonnet (Ouest France). Un récit magnifique…les monologues de Guillaume et d’Harold atteignent à certains moments le sublime. Jean Raspail (Le Figaro Magazine). Prestidigitateur-romancier, c’est à ces personnages de laine qu’il donne la parole. Marianne Payot (Grands Reportages). Un exploit littéraire. Chaque Normand, chaque Anglais devrait posséder ce livre dans sa bibliothèque. Marie Ernouf (Normandie Magazine) Ce livre est bourré de talent. Robert Bresson
CHAUSEY Imago mundi
C'est une île qui mérite une déclaration d'amour. En voilà une. Ce livre de peinture vraie et de mots jolis est à la hauteur de cet archipel cabossé, orgueilleux et salutaire". François Simon Ouest-France. Un merveilleux ouvrage, mi-artistique, mi-poétique. Nita Rousseau (Nouvel-Observateur)… Au plus profond de la réalité poétique… Paul Guimard (Côté Ouest) Un livre réalisé avec passion. Laurent Samuel (Ça m'intéresse)… Un merveilleux cadeau bien ficelé de mots et d'images, où l'on sent très fort votre tendresse pour ces cailloux...Yvon Le Corre
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